Ceux qui nous dirigent, ont leurs cerveaux malades de sottise .

Ceux qui nous dirigent, ont leurs cerveaux malades de sottise
Dont la raison d'état de leur esprit s'avise,
Or il me faudrait, être un insensé ou imprudent,
Pour que je renonce à ma souveraineté, à des politiciens
À tout bout de champ, ma liberté me fut très chère,
Il m'en fallait payer le prix de ma folle enchère.
Un de ces jours derniers, par des lieux détournés
Je m'en vais rêvant, et devisant, le manteau sur le nez,
L’âme bizarrement tourmentée de démocratie occupée,
Comme un poète épris de liberté, avec ses vers à la pipés.
En ces rêves profonds où, nageaient dans mon esprit.
Une société malade de démocratie, qui par la main me prit,
Ainsi on pourrait prendre leur conscience collective, par l'oreille
Quand jusqu'à minuit, un sursaut de conscience s'éveille.
Je passe outre les faux-semblants, des politiques qui font semblant.
D’outrer leurs promesses à la nation, qui n'en voit pas le fond tremblant
Craignant de faire corps, à mon impatience
Des sottises d’État, qui ne font pas pénitence.
Tout courtoisement mes raisonnements les suivent, et sans en être remis :
Quoi, Messieurs les bonimenteurs, c'est ainsi qu'on traite ses amis
Je m'arrête là, ainsi contraint ; d'une manière confuse,

Grinçant entre mes dents, j'invoquais une excuse.
De vous dire de ne pas entraver la liberté, qui ne guérit de rien
Et je vous jure au surplus ; que je suis un homme de bien.
Qui a le cœur, solidaire a ses semblables, qui crève,
De ses factions confiscatoires de nos libertés en place de Grève ;